22 janvier 2008

Les bouleaux à contrejour


Le soleil baissant
les bouleaux à contrejour
leurs ombres s'étirent

C'était l'été, il me semble que c'était il y a longtemps. Sans doute le torticoli dont je souffre depuis deux jours est-il la source de cette nostalgie. La nuit est tombée lorsque je sors du travail et mes soirées se passe au chaud avec une bouillote sur les épaules. C'était au chalet de ma soeur dans Portneuf. L'été les soirées s'étirent et l'on reste dehors longtemps. On fini par allumer un feu plus pour s'éclairer et cuire des guimauves que pour se chauffer et plus encore je crois, pour prolonger le bon temps.
Mais ce n'est pas parce que c'est l'hiver que l'on ne peut veiller dehors. Les soirées Igloofest au vieux port de Montréal le prouvent. Vendredi prochain, si mon cou le permet j'y serai avec des amis. Boire un verre en habit d'hiver en dansant dans ses grosses bottes sous un ciel étoilé ou une petite neige paresseuse, c'est parfait contre la nostalgie. Ce matin la neige tombe doucement et le temps est plus doux , ce serait parfait que cela reste comme cela jusqu'à vendredi.

Mouton citadin
ce n'est qu'un chien habillé
avec un manteau

2 commentaires:

Panthère rousse a dit...

Ton mouton citadin m'a bien fait rire!

Anonyme a dit...

Mais c'est pure vérité.

Line